Chrétiens, biologie et écologie.
Dialogue en trois parties avec Frédéric de Coninck
Première partie : L’écologie cherche actuellement des fondements plus profonds parce que les discours actuels semblent inopérants : nous assistons impuissants à la dégradation progressive et irréversible de la nature. Les Chrétiens se sentent incontestablement concernés…
Deuxième partie : La révolution combinatoire. L’homme apparaît à même de modifier non seulement son cadre de vie avec des dispositifs techniques relevant de la physique et de la chimie, mais capable de modifier le vivant grâce aux avancées de la biologie de synthèse…
Troisième partie : l’universalisme du christianisme, l’eschatologie techniciste, les faux dévots de l’écologie…